Lors de la visite de Camil et Gabriel au Québec, en juillet 2010, j'en ai profité pour faire une après-midi de photo à Macao pendant l'une de mes journées de congé (et, avant de partir, j'ai effacé toutes mes photos des Philippines grâce à la mortelle fonction delete all !!! Plus jamais!!!!). Après avoir pris l'obscur autobus 19 (dans la mauvaise direction...), j'ai abouti au jardin Luis de Camoes, dans le nord-ouest de la péninsule macanaise. Petite visite au jardin des vieux.
Il faut des poutres en métal pour soutenir les énormes branches de ce vieux figuier.
Toujours confortable, un journal!
Est-ce son parapluie qui lui écrase la tête ainsi?
Diagonale + diagonale = droit!
On s'évente car il fait chaud et humide!
« À Luis de Camoes, grand poète de l'humanité et symbole de l'universalisme portugais. 18 décembre 1999 »
L'ombre du gazebo est bienvenue!
Plafond décoré!
Pareil comme à la plage!
La vue depuis l'une des extrémités du jardin.
Garderie et toits de tôle.
Elle a l'air bien avec son petit coussin sous ses fesses et son éventail!
Détente.
Employée d'entretien durant son heure de soupe. Un classique!
Et on glisse!
Quel sourire!
Ça me rappelle nos profs de ballet qui nous demandaient d'avoir les jambes si « en-dehors » qu'on puisse déposer une tasse de café sur notre talon!
On est nombreux à l'entrée du parc (l'ombre y est probablement pour quelque chose).
Tout juste à la sortie du jardin. Est-ce pour amener au temple?
Et c'est parti pour la visite des ruelles et traverses macanaises!
Dans le jardin, on retrouve ce sonnet (décidément, il faut que je découvre pourquoi le site du blogue me remet systématiquement une des photos à la toute fin du message!)
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