vendredi 24 février 2012

Jardin des bonzaïs (Guangzhou 2009)

O.K., il faut aimer les bonzaïs... Et désolé pour les commentaires laconiques!








C'est par ici qu'on entre au jardin des bonzaïs.

Le boeuf commence sa visite!


Trio.



Le boeuf est dans ses feuilles, marilon marilé!




Beau tronc torsadé.





Petit pin touffu.





Diagonale!






Mini géant!





Hum...









Sans fioritures.





Gardien des bonzaïs.





Le boeuf poursuit son ascension au sommet du Mont Bonzaï.




Sur la corde raide!




Roche et racines.







Beau design!




Prisonnier de la pierre!




Parfois il faut pendre le taureau par les cornes...







Étrange structure.




Bonzaïs qui se font bronzer.




Il va finir par plonger dans le lac!




Il ne risque pas de se sauver de sitôt!




Jolies racines.




Le boeuf s'apprête à goûter au fruit défendu...








La meilleure chambre, celle avec la vue sur le lac.




On dirait un chien!




Le figuier parapluie!




Journal matinal.




Grrr, touche pas à mon bonzaï!




Racines sinueuses.




Bonzaïs-jalons.




Retour à la terre natale.







Comme souvenir de mon voyage à Guangzhou, Gabriel voulait que je lui ramène une photo du Chinois qui porterait ses pantalons le plus haut possible. C'est ce petit bébé qui a remporté le concours!




On se promène comme ça, dans un dédale de bonzaïs.




Plante en pot ou bonzaï?




On dirait presque une danseuse!



Il y a des choses qui ne flottent pas. Pour tout le reste, y'a visa.



Un jardin chinois ne vient jamais sans son traditionnel bassin d'eau!



Toute la famille semble fascinée par les carpes dans l'étang...



... le petit bébé n'en revient tout simplement pas!



"Maman, pourquoi elle nous photographie?"



"On dit bonjour!"





Écorce bicolore (est-ce un eucalyptus?).



Rendu là, c'est presque un pont!



1 commentaire:

CélineT a dit...

Ah! C'est le fun le retour de Camil en Chine après tant de mois de silence! Encore plus le fun quand on peut dire : "Eh! J'y étais!"

Un jour, il faudra quand même expliquer aux noms initiés la petite histoire derrière ce boeuf-voyageur...